Dangerine Delices
Dangerine Delices
Composition, Synthetizeurs, Spoken-Words, Mixing, Text and Graphic-Art by Pierre Rosique
Text:
In the flight of the swallow, a cloud, in the cloud, who knows?
A star, maybe, only a light vibrating in the blue night.
On The Earth, empty and uninhabitable souls, and, Mozart on the ground.
Dimmed head, the walkers are passing, a breath, the walkers passed.
Golden soles, printed trail lapped by the wind, the brilliant silence, the souvenir of their passage, the scar of the frost...
Under the wing of the swallow, the deserts of former days, the explosion of ochre and mauve, solitary on the musical dune, the fawn and its stabbing call.
Caught in the wandering stream, the split up spirit, the unbearable invasion of the space. Boreal looks evaporated on sleepy love.
Glass statues burst by the morning claw, the scattered brightness blinding the crowd, the persistent stars lighting the way,
Rider without horse raising on its generous breast a glittering iron.
The pink twilight landing. Its caresses on lips which shie away from its advances.
In the flight of the swallow, a cloud, in the cloud, who knows?
A star, maybe, only a light vibrating in the blue night.
Dans le vol de l’hirondelle, un nuage, dans le nuage, qui sait ?
Une étoile, peut-être, rien qu’une lumière vibrant dans le bleu de la nuit.
Sur terre, des âmes vides et inhabitables, et, Mozart à terre.
Tête baissée, les marcheurs passent, les marcheurs sont passés.
Semelles d’Or, empreintes muettes lapées par le vent, silence éclatant, souvenir de leur passage, la cicatrice du gel...
Sous l’aile de l’hirondelle, les déserts d’antan, explosion d’ocre et de mauve,
solitaire sur la dune musicale, le fauve et son appel lancinant.
Figé dans le flot de l’errance, l’esprit fragmenté, insupportable envahissement du vide.
Regards boréals évaporés sur l’amour endormi.
Statues de verre éclatées par la serre du matin, éclats épars aveuglant la foule, étoiles persistantes éclairant le chemin,
Écuyère sans cheval arborant sur sa généreuse poitrine un fer étincelant.
Le crépuscule rose se pose. Il caresse des lèvres qui se dérobent à ses avances.
Dans le vol de l’hirondelle, un nuage, dans le nuage, qui sait ?
Une étoile, peut-être, rien qu’une lumière vibrant dans le bleu de la nuit
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